RALLYE DES PHARAONS

 

Jeudi 14 mai 2015

Troisième Spéciale : Tibniya – Tibniya

Liaison : 0,90km – Spéciale : 319,85 km – Liaison : 25,19 km – Total : 345,94 km

 

 

 

La troisième étape de ce Rallye des Pharaons est, pour les trois équipages Polaris RZR 1000XT+30, la plus belle et la plus variée en matière de paysage et de terrain. Jean-Paul Van Bohemen continue son apprentissage des rallyes et aujourd’hui a signé une performance en remportant le T3 devant Daniel Viard tandis qu’Éric Mozas a connu une journée infernale. Néanmoins, les trois équipages sont à l’arrivée au bivouac de Baharia et rient ensemble de toutes leurs mésaventures affichant un bel esprit d’entraide et de bonne humeur au sein de l’équipe Xtremeplus.

 

 

ÉRIC MOZAS/SÉBASTIEN DELAUNAY n°311-19e en 4h58’45 : « C’était une journée incroyable, il nous est arrivé de tout ! Pour commencer, nous avons crevé à 10 km du départ. Jean-Paul (Van Bohemen) est passé sans s’arrêter, ce qui est normal vu que nous étions en train de changer la roue. Seulement le cric s’est bloqué et heureusement que Daniel (Viard) et Alain (Multinu) qui passaient un peu plus tard, ont pu nous laisser le leur. Ensuite, nous avons attaqué pour les reprendre et quand ils se sont arrêtés pour dégonfler, nous leur avons rendu leur cric. Nous avons alors roulé de conserve, c’était d’ailleurs très amusant de se doubler l’un l’autre jusqu’%

RALLYE DES PHARAONS

 

Jeudi 14 mai 2015

Troisième Spéciale : Tibniya – Tibniya

Liaison : 0,90km – Spéciale : 319,85 km – Liaison : 25,19 km – Total : 345,94 km

 

 

 

La troisième étape de ce Rallye des Pharaons est, pour les trois équipages Polaris RZR 1000XT+30, la plus belle et la plus variée en matière de paysage et de terrain. Jean-Paul Van Bohemen continue son apprentissage des rallyes et aujourd’hui a signé une performance en remportant le T3 devant Daniel Viard tandis qu’Éric Mozas a connu une journée infernale. Néanmoins, les trois équipages sont à l’arrivée au bivouac de Baharia et rient ensemble de toutes leurs mésaventures affichant un bel esprit d’entraide et de bonne humeur au sein de l’équipe Xtremeplus.

 

 

ÉRIC MOZAS/SÉBASTIEN DELAUNAY n°311-19e en 4h58’45 : « C’était une journée incroyable, il nous est arrivé de tout ! Pour commencer, nous avons crevé à 10 km du départ. Jean-Paul (Van Bohemen) est passé sans s’arrêter, ce qui est normal vu que nous étions en train de changer la roue. Seulement le cric s’est bloqué et heureusement que Daniel (Viard) et Alain (Multinu) qui passaient un peu plus tard, ont pu nous laisser le leur. Ensuite, nous avons attaqué pour les reprendre et quand ils se sont arrêtés pour dégonfler, nous leur avons rendu leur cric. Nous avons alors roulé de conserve, c’était d’ailleurs très amusant de se doubler l’un l’autre jusqu’à 60 km de l’arrivée quand Daniel a crevé. Nous avons alors continué et rattrapé Jean-Paul puis nous nous sommes perdus ensemble…

35 km avant l’arrivée, nous avons crevé deux roues… et il ne nous en restait qu’une seule ! En la changeant, la déboulonneuse a pris feu dans la main de Sébastien qui a été brûlé au second degré puis il a réparé une roue avec des mèches mais cela n’a pas tenu. Jean-Paul s’est arrêté mais n’a pas pu nous aider car il n’avait plus de roue non plus…

Mais nos mésaventures ne s’arrêtent pas là. Devant un Y, nous partions sur la gauche et Seb m’avertit qu’il fallait prendre la piste de droite. Je passe la marche arrière et là, la boîte se bloque et le moteur cale. En désespoir de cause, en marche-arrière, nous grimpons sur un monticule pour tenter de la débloquer et Daniel arrive à ce moment-là ! Nous lui avons pris une roue et sa déboulonneuse pour enfin sortir de la spéciale ! Quelle journée ! »

 

JEAN-PAUL VAN BOHEMEN/JEAN-MICHEL POLATO n°321- 16e en 4h29’00 : « Nous sommes partis avec les pneus dégonflés à 1.4 kg et décidé de prendre le risque de faire toute la spéciale ainsi mais de rouler plus « doux » dans les cailloux. Malheureusement, nous avons crevé par deux fois et nous n’avons pas pu aider Éric quand il avait besoin d’une roue. En tout cas, c’était une spéciale magnifique en paysages, avec toutes sortes de terrains différents. Jean-Michel a très bien navigué et nous avons pu arriver premier T3. »

 

DANIEL VIARD/ALAIN MULTINU n°323-18e en 4h46’05 : « Hier, nous avons eu 30′ de pénalité car nous avions raté un Waypoint mais aujourd’hui Alain s’est rattrapé et fait une excellente navigation. La spéciale était très belle et très variée mais malheureusement toujours trop rapide pour nous. Néanmoins, il y avait des parties techniques sympathiques mais pour ces parties-là, nous avons besoin de régler les amortisseurs. Sur la fin de la spéciale, il y avait également très belles dunes dans lesquelles nous avons cassé une courroie — c’était mon baptême de « courroie » — puis, plus loin, à 60 km de l’arrivée, nous avons crevé ! C’était une belle journée pendant laquelle nous avons joué à cache-cache un long moment avec Éric mais c’était très amusant de rouler ensemble. »

 

 

 

 

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Jeudi 14 mai 2015

Troisième Spéciale : Tibniya – Tibniya

Liaison : 0,90km – Spéciale : 319,85 km – Liaison : 25,19 km – Total : 345,94 km

 

 

 

La troisième étape de ce Rallye des Pharaons est, pour les trois équipages Polaris RZR 1000XT+30, la plus belle et la plus variée en matière de paysage et de terrain. Jean-Paul Van Bohemen continue son apprentissage des rallyes et aujourd’hui a signé une performance en remportant le T3 devant Daniel Viard tandis qu’Éric Mozas a connu une journée infernale. Néanmoins, les trois équipages sont à l’arrivée au bivouac de Baharia et rient ensemble de toutes leurs mésaventures affichant un bel esprit d’entraide et de bonne humeur au sein de l’équipe Xtremeplus.

 

 

ÉRIC MOZAS/SÉBASTIEN DELAUNAY n°311-19e en 4h58’45 : « C’était une journée incroyable, il nous est arrivé de tout ! Pour commencer, nous avons crevé à 10 km du départ. Jean-Paul (Van Bohemen) est passé sans s’arrêter, ce qui est normal vu que nous étions en train de changer la roue. Seulement le cric s’est bloqué et heureusement que Daniel (Viard) et Alain (Multinu) qui passaient un peu plus tard, ont pu nous laisser le leur. Ensuite, nous avons attaqué pour les reprendre et quand ils se sont arrêtés pour dégonfler, nous leur avons rendu leur cric. Nous avons alors roulé de conserve, c’était d’ailleurs très amusant de se doubler l’un l’autre jusqu’à 60 km de l’arrivée quand Daniel a crevé. Nous avons alors continué et rattrapé Jean-Paul puis nous nous sommes perdus ensemble…

35 km avant l’arrivée, nous avons crevé deux roues… et il ne nous en restait qu’une seule ! En la changeant, la déboulonneuse a pris feu dans la main de Sébastien qui a été brûlé au second degré puis il a réparé une roue avec des mèches mais cela n’a pas tenu. Jean-Paul s’est arrêté mais n’a pas pu nous aider car il n’avait plus de roue non plus…

Mais nos mésaventures ne s’arrêtent pas là. Devant un Y, nous partions sur la gauche et Seb m’avertit qu’il fallait prendre la piste de droite. Je passe la marche arrière et là, la boîte se bloque et le moteur cale. En désespoir de cause, en marche-arrière, nous grimpons sur un monticule pour tenter de la débloquer et Daniel arrive à ce moment-là ! Nous lui avons pris une roue et sa déboulonneuse pour enfin sortir de la spéciale ! Quelle journée ! »

 

JEAN-PAUL VAN BOHEMEN/JEAN-MICHEL POLATO n°321- 16e en 4h29’00 : « Nous sommes partis avec les pneus dégonflés à 1.4 kg et décidé de prendre le risque de faire toute la spéciale ainsi mais de rouler plus « doux » dans les cailloux. Malheureusement, nous avons crevé par deux fois et nous n’avons pas pu aider Éric quand il avait besoin d’une roue. En tout cas, c’était une spéciale magnifique en paysages, avec toutes sortes de terrains différents. Jean-Michel a très bien navigué et nous avons pu arriver premier T3. »

 

DANIEL VIARD/ALAIN MULTINU n°323-18e en 4h46’05 : « Hier, nous avons eu 30′ de pénalité car nous avions raté un Waypoint mais aujourd’hui Alain s’est rattrapé et fait une excellente navigation. La spéciale était très belle et très variée mais malheureusement toujours trop rapide pour nous. Néanmoins, il y avait des parties techniques sympathiques mais pour ces parties-là, nous avons besoin de régler les amortisseurs. Sur la fin de la spéciale, il y avait également très belles dunes dans lesquelles nous avons cassé une courroie — c’était mon baptême de « courroie » — puis, plus loin, à 60 km de l’arrivée, nous avons crevé ! C’était une belle journée pendant laquelle nous avons joué à cache-cache un long moment avec Éric mais c’était très amusant de rouler ensemble. »