DAKAR 2016

Buenos Aires, 4 janvier 2016

 

2e étape : Villa Carlos Paz – Termas Rio Hondo

Spéciale 510 km – Liaison : 337 km – Total : 847 km

 

 

 

 

Après les pluies de la veille et le crachin de ce matin, les concurrents sont bien partis dans la 2e Spéciale, raccourcie au CP4. Le parcours était assez spectaculaire avec sur chemin de terre, pistes rapides, passage montagneux et une navigation relativement facile. Mais il fallait bien corser un peu ce premier vrai secteur sélectif et la boue était aussi au programme !

Arrivés au bivouac de Rio Hondo où la chaleur et l’humidité sont éprouvantes et où, malgré la nuit qui tombe, le thermomètre reste haut perché, bien au-dessus des 35 °C…

 

Michele Cinotto/Maurizio Dominella n°389 (54e en 4h42’22) : « Tout a super bien marché à part les 20 km derrière un concurrent qui ne nous a pas laissés passer. Nous avons été obligés de patienter dans sa poussière. Nous avons franchi un gué plein de boue qui a complètement sali la voiture mais le grand bourbier, nous l’avons évité.

La course est longue, je prends les choses tranquillement et le Polaris RZR 1000XT + marche du tonnerre ! »

 

Eugenio Amos/Rafael Tornabell n°371 (63e en 4h49’01) : « La spéciale était très belle. Eugenio a bien roulé, explique Rafael Tornabell, le visage tout noir à l’arrivée au bivouac et il s’est amusé à piloter sur les pistes rapides. Il a un bon rythme pour ce genre de course et aussi le physique. En tapant une ornière, on s’est mis sur le flanc mais rien de grave. Nous avons également évité la boue… « 

 

Leandro Torres/Roldan Lourival n°367 (83e en 5h20’10) : « C’était une belle spéciale qui ressemblait un peu à ce que nous avons au Sertoes. Après la moitié de la Spéciale, j’ai commencé à prendre confiance, je me sentais plus à l’aise. Je suis aussi très content de mon copilote, Lourival qui a beaucoup d’expérience. Et heureusement, grâce à quelqu’un qui nous indiqué où passer, nous sommes passés à côté du bourbier. »

 

Mao Rujin/Ka Chun Yu n°394 (89e en 5h36’32) : « Cette première étape, je l’ai trouvée très longue. J’ai aussi découvert que rouler dans l’eau et dans la boue n’était pas très facile. La spéciale était belle mais très sinueuse et parfois étroite entre des rochers. Ce matin, à cause de la pluie, je trouvais que les températures étaient acceptables mais dans la Spéciale il a fait vraiment très, très chaud. Le RZR est parfait mais nous avons perdu le capot par deux fois et Ka Chun a dû courir pour le récupérer ! Demain, il paraît qu’il fera encore plus chaud… »

 

 

 

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