ABU DHABI DESERT CHALLENGE 2015

 

Mercredi 1er avril

Quatrième Spéciale : Qasr Al Sarab – Qasr Al Sarab

Liaison : 128 km – Spéciale : 258 km – Liaison : 18 km – Total : 405 km

 

 

À chaque jour suffit sa peine mais sur le Abu Dhabi Desert Challenge, chaque jour le mercure du thermomètre grimpe un peu plus haut et, cette fois encore, il faisait plus de 50°C dans les dunes. Ces conditions extrêmes demandent beaucoup de gestion des températures afin de ne pas faire chauffer la courroie. Mais nos deux équipages Mozas/Delaunay et Tonetti/Polato sortirent leur épingle du jeu avec brio malgré quelques mésaventures épiques !

Après une course spectaculaire et alors qu’ils étaient en tête du T3, Alessandro Fogliani, 20 ans, et son père, Pietro, furent contraints à l’abandon après à un problème mécanique en cours d’analyse.

 

Éric Mozas/Sébastien Delaunay n°247 ( 18es en 5h23’23) : «  Nous sommes partis avec une pression trop basse dans les pneus et sur un saut, nous avons déjanté. Plus loin, nous avons cassé une courroie et sur la fin, nous avons à nouveau déjanté… Nous avons ainsi perdu 30 minutes… C’était une journée très dure à cause de la chaleur et des hautes dunes très techniques à franchir. Je suis donc très content d’être à l’arrivée car il a fallu gérer la chaleur tout au long de la spéciale. »

 

Kecco Tonetti/Jean-Michel Polato n°248 (22es en 5h36’36) : « Nous sommes des miraculés ! À environ 80 km du départ, nous avons tapé dans un trou derrière une dune et le triangle avant gauche s’est ouvert comme une boîte de sardine. Nous avons réussi à rouler les 50 km qui restaient jusqu’à l’assistance mais là, les mécaniciens Xtremeplus n’ont rien pu faire pour nous car ils n’avaient pas de triangle avec eux. Nous avons tout de même décidé de continuer les derniers 130 km … Et, à part un ensablement à 20 km de l’arrivée, nous avons réussi à passer toutes les dunes, je ne sais toujours pas comment j’ai fait car je n’osais pas accélérer dans les descentes pour prendre de l’élan et les tas de sable étaient très, très hauts ! »

 

 

 

 

 

 

 

 

ABU DHABI DESERT CHALLENGE 2015

 

Mercredi 1er avril

Quatrième Spéciale : Qasr Al Sarab – Qasr Al Sarab

Liaison : 128 km – Spéciale : 258 km – Liaison : 18 km – Total : 405 km

 

 

À chaque jour suffit sa peine mais sur le Abu Dhabi Desert Challenge, chaque jour le mercure du thermomètre grimpe un peu plus haut et, cette fois encore, il faisait plus de 50°C dans les dunes. Ces conditions extrêmes demandent beaucoup de gestion des températures afin de ne pas faire chauffer la courroie. Mais nos deux équipages Mozas/Delaunay et Tonetti/Polato sortirent leur épingle du jeu avec brio malgré quelques mésaventures épiques !

Après une course spectaculaire et alors qu’ils étaient en tête du T3, Alessandro Fogliani, 20 ans, et son père, Pietro, furent contraints à l’abandon après à un problème mécanique en cours d’analyse.

 

Éric Mozas/Sébastien Delaunay n°247 ( 18es en 5h23’23) : «  Nous sommes partis avec une pression trop basse dans les pneus et sur un saut, nous avons déjanté. Plus loin, nous avons cassé une courroie et sur la fin, nous avons à nouveau déjanté… Nous avons ainsi perdu 30 minutes… C’était une journée très dure à cause de la chaleur et des hautes dunes très techniques à franchir. Je suis donc très content d’être à l’arrivée car il a fallu gérer la chaleur tout au long de la spéciale. »

 

Kecco Tonetti/Jean-Michel Polato n°248 (22es en 5h36’36) : « Nous sommes des miraculés ! À environ 80 km du départ, nous avons tapé dans un trou derrière une dune et le triangle avant gauche s’est ouvert comme une boîte de sardine. Nous avons réussi à rouler les 50 km qui restaient jusqu’à l’assistance mais là, les mécaniciens Xtremeplus n’ont rien pu faire pour nous car ils n’avaient pas de triangle avec eux. Nous avons tout de même décidé de continuer les derniers 130 km … Et, à part un ensablement à 20 km de l’arrivée, nous avons réussi à passer toutes les dunes, je ne sais toujours pas comment j’ai fait car je n’osais pas accélérer dans les descentes pour prendre de l’élan et les tas de sable étaient très, très hauts ! »

 

 

 

 

 

 

 

 

ABU DHABI DESERT CHALLENGE 2015

 

Mercredi 1er avril

Quatrième Spéciale : Qasr Al Sarab – Qasr Al Sarab

Liaison : 128 km – Spéciale : 258 km – Liaison : 18 km – Total : 405 km

 

 

À chaque jour suffit sa peine mais sur le Abu Dhabi Desert Challenge, chaque jour le mercure du thermomètre grimpe un peu plus haut et, cette fois encore, il faisait plus de 50°C dans les dunes. Ces conditions extrêmes demandent beaucoup de gestion des températures afin de ne pas faire chauffer la courroie. Mais nos deux équipages Mozas/Delaunay et Tonetti/Polato sortirent leur épingle du jeu avec brio malgré quelques mésaventures épiques !

Après une course spectaculaire et alors qu’ils étaient en tête du T3, Alessandro Fogliani, 20 ans, et son père, Pietro, furent contraints à l’abandon après à un problème mécanique en cours d’analyse.

 

Éric Mozas/Sébastien Delaunay n°247 ( 18es en 5h23’23) : «  Nous sommes partis avec une pression trop basse dans les pneus et sur un saut, nous avons déjanté. Plus loin, nous avons cassé une courroie et sur la fin, nous avons à nouveau déjanté… Nous avons ainsi perdu 30 minutes… C’était une journée très dure à cause de la chaleur et des hautes dunes très techniques à franchir. Je suis donc très content d’être à l’arrivée car il a fallu gérer la chaleur tout au long de la spéciale. »

 

Kecco Tonetti/Jean-Michel Polato n°248 (22es en 5h36’36) : « Nous sommes des miraculés ! À environ 80 km du départ, nous avons tapé dans un trou derrière une dune et le triangle avant gauche s’est ouvert comme une boîte de sardine. Nous avons réussi à rouler les 50 km qui restaient jusqu’à l’assistance mais là, les mécaniciens Xtremeplus n’ont rien pu faire pour nous car ils n’avaient pas de triangle avec eux. Nous avons tout de même décidé de continuer les derniers 130 km … Et, à part un ensablement à 20 km de l’arrivée, nous avons réussi à passer toutes les dunes, je ne sais toujours pas comment j’ai fait car je n’osais pas accélérer dans les descentes pour prendre de l’élan et les tas de sable étaient très, très hauts ! »