MERZOUGA RALLY

 

Mardi 13 octobre

Deuxième spéciale : Erfoud – Erfoud

Liaison : 22 km – Spéciale : 163 km – Liaison : 40 km – Total : 225 km

 

 

 

Si hier, le parcours était de sable, cette deuxième étape n’était que pierre. Après une courte liaison, les concurrents ont pris le départ sur une piste de montagne tout en montée spectaculaire pendant 500 mètres afin d’arriver sur le plateau de Boudnib. L’étape était une véritable leçon de navigation et de plaisir de pilotage sur du terrain technique.

La journée s’est très bien passée pour l’équipage brésilien Leandro Torres et Erlei Ayala qui se classe en septième position de la catégorie des SSV.

 

 

 

LEANDRO TORRES/ERLEI AYALA n° 218 – 7es en 3h53’00 : « Le départ de la spéciale était donné dans une grande montée empierrée très difficile pour les motards mais nous n’avons pas eu de problème à la grimper. Le début de la spéciale n’était pas très difficile mais Erlei s’est trompé dans le premier « oued » et nous a perdus 30′, ensuite, il s’est concentré et n’a plus commis d’erreur.

Aujourd’hui, je n’ai vu que des cailloux, des cailloux et encore des cailloux ! Quand nous sommes arrivés dans les dunettes, j’étais même content de voir enfin du sable mais il y avait des boules de végétation dures comme des pierres et, avec quatre roues, ce n’était pas facile de les éviter.

Mais je suis content car nous avons terminé cette nouvelle étape et nous avons à nouveau appris quelque chose. »

 

 

MERZOUGA RALLY

 

Mardi 13 octobre

Deuxième spéciale : Erfoud – Erfoud

Liaison : 22 km – Spéciale : 163 km – Liaison : 40 km – Total : 225 km

 

 

 

Si hier, le parcours était de sable, cette deuxième étape n’était que pierre. Après une courte liaison, les concurrents ont pris le départ sur une piste de montagne tout en montée spectaculaire pendant 500 mètres afin d’arriver sur le plateau de Boudnib. L’étape était une véritable leçon de navigation et de plaisir de pilotage sur du terrain technique.

La journée s’est très bien passée pour l’équipage brésilien Leandro Torres et Erlei Ayala qui se classe en septième position de la catégorie des SSV.

 

 

 

LEANDRO TORRES/ERLEI AYALA n° 218 – 7es en 3h53’00 : « Le départ de la spéciale était donné dans une grande montée empierrée très difficile pour les motards mais nous n’avons pas eu de problème à la grimper. Le début de la spéciale n’était pas très difficile mais Erlei s’est trompé dans le premier « oued » et nous a perdus 30′, ensuite, il s’est concentré et n’a plus commis d’erreur.

Aujourd’hui, je n’ai vu que des cailloux, des cailloux et encore des cailloux ! Quand nous sommes arrivés dans les dunettes, j’étais même content de voir enfin du sable mais il y avait des boules de végétation dures comme des pierres et, avec quatre roues, ce n’était pas facile de les éviter.

Mais je suis content car nous avons terminé cette nouvelle étape et nous avons à nouveau appris quelque chose. »

 

 

MERZOUGA RALLY

 

Mardi 13 octobre

Deuxième spéciale : Erfoud – Erfoud

Liaison : 22 km – Spéciale : 163 km – Liaison : 40 km – Total : 225 km

 

 

 

Si hier, le parcours était de sable, cette deuxième étape n’était que pierre. Après une courte liaison, les concurrents ont pris le départ sur une piste de montagne tout en montée spectaculaire pendant 500 mètres afin d’arriver sur le plateau de Boudnib. L’étape était une véritable leçon de navigation et de plaisir de pilotage sur du terrain technique.

La journée s’est très bien passée pour l’équipage brésilien Leandro Torres et Erlei Ayala qui se classe en septième position de la catégorie des SSV.

 

 

 

LEANDRO TORRES/ERLEI AYALA n° 218 – 7es en 3h53’00 : « Le départ de la spéciale était donné dans une grande montée empierrée très difficile pour les motards mais nous n’avons pas eu de problème à la grimper. Le début de la spéciale n’était pas très difficile mais Erlei s’est trompé dans le premier « oued » et nous a perdus 30′, ensuite, il s’est concentré et n’a plus commis d’erreur.

Aujourd’hui, je n’ai vu que des cailloux, des cailloux et encore des cailloux ! Quand nous sommes arrivés dans les dunettes, j’étais même content de voir enfin du sable mais il y avait des boules de végétation dures comme des pierres et, avec quatre roues, ce n’était pas facile de les éviter.

Mais je suis content car nous avons terminé cette nouvelle étape et nous avons à nouveau appris quelque chose. »